Les 5 sentiments qui nuisent au bonheur - Les Radieuses

Les 5 sentiments qui nuisent au bonheur

Les effets de ces sentiments que certains appelleront « blessures » sont comparables à des programmations au niveau de l’inconscient et leur présence non conscientisée cause bien des états de mal-être.

La bonne nouvelle est qu’on peut les transformer simplement, avec la PNL (programmation neurolinguistique), par exemple, comme je fais en coaching individuel et qui donne des résultats spectaculaires. Les gens n’en reviennent juste pas de ces dégagements instantanés.

On pourrait aussi comparer les blessures ou les émotions à des codes à barres comme sur les produits en magasin; un tel code donne un tel prix.

Donc, au niveau de l’inconscient, aussi longtemps que ce « code » est actif, il reproduit le même état d’être et les mêmes inconforts.

Voici ces 5 sentiments perturbateurs et leur masque correspondant. Vous comprendrez pourquoi vous vivez telle ou telle chose à répétition.

Le concept des 5 blessures de l’âme a initialement été mis en lumière dans les travaux de recherches du psychiatre américain John Pierrakos qui lui, s’était inspiré de William Reich. Lise Bourbeau les a ensuite fait connaître à grande échelle et elle a bien vulgarisé le tout.

La méconnaissance de ces états d’être a des impacts majeurs sur notre bien-être, nos émotions, notre santé, notre vie amoureuse, familiale et professionnelle. On y retrouve donc le rejet, l’abandon, l’humiliation, la trahison et l’injustice. Chacun d’eux amène à se forger un masque de protection au fil du temps, lequel s’installe principalement durant l’enfance et entrave grandement le bonheur et la réussite générale. On porte tous ces masques à différents degrés.

Brève description.

À noter que ces caractéristiques pourraient toutes se retrouver chez une personne super affectée. Toutefois, on peut n’avoir que quelques éléments d’une blessure sans la totalité des caractéristiques.

1. Le rejet : masque… fuyant

Ce sentiment naît entre la période de la conception jusqu’à l’âge d’un an généralement en lien avec le parent du même sexe. La personne très touchée par ce sentiment est portée à s’isoler, à vouloir passer inaperçue et a tendance à s’éloigner des gens. Elle préfère s’organiser seule. Elle peut avoir de la difficulté à parler en public, car elle se sous-estime et a peur du jugement des autres.

Elle préfère refouler ses émotions au lieu de s’exprimer. Cette blessure amène la personne à se rejeter elle-même, même si au fond elle désire tant être aimée. La peur de la solitude, l’anxiété, l’angoisse et la panique sont des sentiments qui peuvent devenir très présents chez cette personne tout comme la timidité. Elle est perfectionniste pour ne pas être rejetée. Elle se sent non méritante, donc peut attirer des personnes inaptes à l’aimer, ce qui vient confirmer sa croyance. Elle se rejette soi-même sans le réaliser ce qui donne la permission aux autres de la faire envers elle pour ainsi dire. C’est le cas pour chacun de ces sentiments. On se le fait à soi à notre insu.

2. L’abandon : masque… dépendant

Ce sentiment s’installe entre l’âge d’un an et trois ans, généralement en lien avec le parent du sexe opposé. La personne très affectée par l’abandon a souvent des difficultés en amour. Elle a un besoin d’attention important. Elle se sent souvent victime (pourquoi moi, pourquoi ça n’arrive qu’à moi…).

Inconsciemment, elle souhaite que les gens qui l’entourent soient responsables de son bonheur. Elle pleure facilement et angoisse à l’idée d’être seule. Avec cette dépendante affective, elle a peur de s’affirmer et est très déstabilisée lors d’une séparation.

Le sentiment d’abandon devient à vif. Ce manque de pouvoir personnel et de respect de soi fait que la personne peut attirer des gens manipulateurs et contrôlants. Elle leur remet son pouvoir aux autres en quelque sorte. En ne prenant pas suffisamment sa place, elle la donne aux autres et est souvent malheureuse. Il y a là un grand message, un grand enseignement à intégrer. Comme dans chaque blessure d’ailleurs.

3. L’humiliation : masque… masochiste

Le sentiment d’humiliation naît entre un an et trois ans avec le parent qui s’occupait surtout du développement physique de l’enfant. Il y a eu coupure avec la notion de plaisir. Avec le temps, cette personne n’écoute pas ses besoins et mange ses émotions, d’où l’embonpoint ou l’obésité bien souvent.

Elle est souvent débordée, s’oublie, a honte d’elle-même et souffre pour les autres. Elle se refuse le plaisir par peur d’être humiliée. Cette personne se manque de respect trop souvent et n’écoute pas assez son intuition, ses envies. Tristement, elle s’humilie elle-même.

4. La trahison : masque… contrôlant

La blessure se crée entre deux et quatre ans avec le parent du sexe opposé. La personne très affectée par la blessure de trahison a de la difficulté à déléguer. Elle peut manipuler fréquemment pour arriver à ses fins. Elle a ressenti des abus de confiance en étant enfant et a souvent peur d’être trahie. Donc, elle est aux barricades trop souvent et se cache maladroitement dans sa grosse carapace de protection, elle met un ego démesuré en avant-plan. Elle manque de confiance et d’estime, et tente de compenser ainsi, mais ne le réalise pas.

Elle a de nombreuses attentes, elle parle fort et impose son point de vue. Le manque de délicatesse dans ses communications est flagrant. Cette personne veut tout contrôler pour ne pas être trahie. Elle est susceptible et autoritaire. Son humeur peut changer constamment et drastiquement. Souvent impatiente et se sent supérieure aux autres. L’apparence est très importante. Grande coupure d’avec le senti et les émotions. Peur de l’engagement.

Difficile à côtoyer en couple ou au travail quand cette blessure est très présente. Ça peut même, à l’extrême, basculer vers des comportements pervers narcissiques. Ces personnes contrôlantes auront besoin de gens en faible estime d’eux-mêmes pour pouvoir établir leur dominance.

5. L’injustice : masque… rigide

Naîtra entre quatre à six ans avec le parent du même sexe en général. La personne qui souffre de la blessure d’injustice se coupe beaucoup de ses émotions et de ses ressentis (autant émotionnels que physiques). Cette personne est très perfectionniste et refuse d’avoir de l’aide, car ce ne serait pas, selon elle, aussi bien fait que par elle-même. Elle aime bien paraître, ce qui la pousse à ne pas respecter ses limites. Cette personne est de nature envieuse et est assez froide avec les gens.

Elle cache ses émotions et ira même jusqu’à avoir un rire forcé afin de s’assurer de ne rien laisser paraître. Les gens souffrant de la blessure d’injustice sont très rationnels et ont un immense besoin d’avoir raison. Se justifient beaucoup.

Cette personne est dure avec elle-même et les autres. Rigidité, retenue, froideur s’en dégagent. Cette coupure d’avec soi peut même aller vers l’anorgasmie chez la femme et l’éjaculation précoce ou impuissance pour l’homme.

Ces caractéristiques sont toutes présentes seulement si la personne est par exemple à 10/10 dans l’ancrage de cette blessure dans sa vie. On peut n’avoir que peu d’éléments d’une blessure et ça nous créera des défis.

On est toutes touchées par les cinq à différents degrés. L’important est d’en reconnaître les signaux et de réaliser qu’oups, c’est la blessure du petit enfant en soi qui réagit. De là, on peut se faire aider, s’en détacher pas à pas aussi en s’observant agir et réagir.

Vous comprendrez que ces descriptions ne sont que des points de repère pour vous aider à mieux comprendre vos comportements et ceux des autres. Aucune culpabilité SVP. On fait tous de notre mieux en fonction de ce qu’on porte comme histoire.

Les blessures et les émotions sont comme un collier de perles ou un code à barres

Les effets d’une blessure ou d’une émotion, c’est un peu comme un collier de perles. C’est relié à une programmation interne et depuis 30 ans j’ai appris à aider les gens à défaire à de hauts niveaux, très rapidement et sans remuer le passé.

Donc, il peut y avoir eu un élément déclencheur un jour qui a été comme l’attache de ce collier. De là, différents événements qui rappellent cet inconfort à l’inconscient sont venus s’accumuler comme s’ils créaient une nouvelle perle. Au fil des ans, la lourdeur de ces perles (pas nécessairement heureuses, on en convient) finit par affecter la joie de vivre, l’équilibre émotionnel, l’aspect affectif, et peut même influencer la santé.

On pourrait aussi comparer les blessures ou les émotions à un code à barres comme sur les produits en magasin. Un tel code donne un tel prix. Donc, au niveau de l’inconscient, aussi longtemps que ce « code » est actif, il reproduit le même état d’être. De là, la nécessité de vivre en conscience toujours plus. En s’observant agir et réagir au quotidien et en voyant les effets des blessures chez les autres via leurs perceptions, opinions, comportements et croyances, on devient plus compréhensifs. En observant, on comprend mieux, on limite les jugements envers soi et les autres et on avance pas à pas vers une belle liberté d’être et une joie grandissante.

3 ressources pour renaitre de ça

  1. La formation en ligne comment aimer sans se perdre est un bijou pour vous aider à alléger enfin ces 5 blessures. https://linebolduc.com/aimer-sans-se-perdre/
  2. Je peux aussi vous voir en coaching privé et souvent une seule fois suffit avec les techniques PNL utilisées pour vous aider à avoir une puissante renaissance et à aller de l’avant avec plus de légèreté. Un forfait de 3 est aussi disponible.
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