Avec la crise mondiale actuelle, les gens qui ont une prédisposition à vivre beaucoup de réactions de stress, qui ont peur plus facilement, qui sont sujets à l’anxiété même, sont possiblement encore plus enclins à vivre de grands inconforts.
Heureusement, il est possible d’arriver à rester centré au mieux et de conserver vos énergies pour soutenir votre système immunitaire, votre joie profonde au lieu de succomber au contraire. On a la responsabilité individuelle de se créer des structures de pensées porteuses de bien et de favoriser de petits et grands moments de joie au cœur de notre réalité quotidienne.
En se faisant aider au besoin et en se documentant sur ce qui nous limite, on avance vers plus de paix intérieure.
Je vous invite à observer les éléments déclencheurs de vos états de stress, de peurs ou d’anxiété. Observez-vous agir et réagir avec amour et douceur. Au lieu de culpabiliser si vous n’atteignez pas un certain niveau de sérénité, ayez plutôt de la gratitude pour votre ouverture à votre renaissance, à votre potentiel de transformation et envers vos actions en vue de vous libérer.
Plus on se connecte à l’instant présent, plus on peut récupérer de l’énergie, car vivre dans le passé viendra vous attrister trop souvent, vous couper du moment actuel qui, lui, revêt tout un potentiel de création heureuse.
Vivre dans le futur crée des peurs, des doutes trop souvent. Certes, il est important d’avoir des projets, mais se contracter intérieurement en se faisant des scénarios illusoires ou qui amplifient ce qui est moins agréable devient nuisible.
On se déconnecte de soi si on laisse les pensées anxiogènes ou limitatives prendre le dessus et ça coupe de la capacité d’être des libres penseurs, ça coupe de l’accès à notre potentiel, car ça devient comme une fausse identité dans laquelle on s’enferme.
Je vous parle par expérience, car je l’ai vécu de longues années et je m’en suis totalement libérée en me faisant aider en programmation neurolinguistique notamment. J’ai tellement eu de bons résultats que je suis allée me former dans cette approche et j’aide les gens à se connecter à leur plein potentiel depuis 25 ans.
Certes, notre passé, nos parents, nos proches et notre histoire ont eu des impacts sur la manière dont nous avons forgé nos états intérieurs, nos perceptions, le tout en bien ou en moins bien. La bonne nouvelle est qu’on peut changer ces programmations qui nous entravent.
Les inconforts sont une invitation à briser des chaînes
Voici un extrait de la présentation de ma ressource en ce sens sur mon site internet et intitulée Stress et anxiété, non merci.
L’anxiété fait souvent en sorte que :
- L’insomnie devient présente. La personne se retourne encore et encore dans son lit et le mental s’agite à trop penser et à s’inventer des scénarios désagréables.
- La personne ne se donne pas vraiment droit à l’erreur. Le perfectionnisme l’amène à ne pas vouloir se tromper au risque de se dévaloriser et de se comparer péjorativement aux autres. Il y a la peur de faire rire de soi et de se tromper. Tout un contrat impossible à remplir. Ceci peut risquer de faire prendre l’habitude de reporter les tâches à faire par peur de ne pas réussir.
- L’anxiété engendre le besoin de planifier les choses dans le temps dans les moindres petits détails, Ex. ça prendra combien de temps pour aller à tel endroit, à quelle heure aura lieu telle ou telle chose, ce qui peut aussi devenir envahissant pour l’entourage. On voit cela chez les enfants anxieux notamment. Ça prend un plan, donc plus de place suffisante pour la joie de vivre et la spontanéité. C’est malheureusement un trop grand besoin de tout contrôler.
- L’anxiété amène aussi la personne à mal tolérer le silence des autres en ce sens qu’un appel téléphonique à un proche et qui reste sans réponse peut devenir source d’inquiétude ou si un message est laissé et que le retour tarde. Cela laisse un sentiment d’inconfort même si la logique dit que bien des raisons peuvent expliquer le tout. Il peut y avoir la peur d’avoir été ignoré, ce qui réveille le sentiment de rejet si présent.
- L’anxiété amène le mental à croire les scénarios imaginaires et influence le cerveau qui va traduire cela par une sensation physique très désagréable.
- L’anxiété est un mal qui se construit sur l’impression d’avoir à faire face au pire. C’est un sentiment d’attente du négatif pour ainsi dire.
- C’est comme un trajet erroné au niveau de l’esprit et le mental l’emprunte délibérément quand l’anxiété prend le contrôle.
- Elle se fonde sur un grand manque de confiance, d’estime et d’amour de soi sans oublier les impacts d’une profonde blessure de rejet.
- Elle amène à croire comme réelles les illusions construites de toute pièce.
- Elle peut amener des conflits dans les relations, car elle favorise les conclusions hâtives et la susceptibilité, ne se sentant pas correct pour ci ou ça. Elle nuit au calme, car elle suscite un état d’alerte récurrent.
- Elle engendre une façade qui camoufle le mal-être de sorte que les gens moins familiers ou étrangers ne voient pas cette souffrance qui est portée. La personne donne une image faussée de ce qu’elle vit. Ceci ne lui offre pas la chance de lâcher prise, car elle joue un rôle qui est lourd à porter.
- L’anxiété suscite pour certains des sempiternels questionnements inutiles. Ai-je fermé la fenêtre, ai-je barré la porte à clef, vais-je être malade? Elle peut favoriser des tics comme se gratter une main, mais devoir gratter l’autre, aller voir 4 fois si la porte est barrée. C’est une invitation à faire taire cette voix qui s’agite en soi.
À la lumière de tout ça, je vous invite à percevoir ces réflexions comme des pépites de transformation. À partir du moment où on comprend mieux ce qui se passe en soi, qu’on se sent moins seule avec ce mal-être, qu’on sait qu’il y a des ressources, ça fait du bien.
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Line Bolduc