La réputation de Laurent Duvernay-Tardif n’est plus à faire: footballeur, ambassadeur, entrepreneur, médecin, il semble être un surhomme tant il a de chapeaux à porter. C’est toutefois un être sensible, émotif, profond que nous avons eu la chance de rencontrer dans le cadre de son rôle d’ambassadeur pour les produits Clarins pour hommes, ClarinsMen.
En toute générosité et sans masque, nous avons découvert une autre facette de cet homme extraordinaire pour qui tout est une question d’équilibre.
Entrevue avec Laurent Duvernay-Tardif
Laurent, pourquoi est-ce que ton association avec Clarins coulait de source?
«J’ai toujours été sensibilisé à l’utilisation des produits pour la peau. Avec Clarins, ce qui me rejoignait, c’est principalement l’aspect scientifique, médicinal. Mon association avec eux m’offrait également une belle opportunité d’aborder une autre facette de la masculinité. On m’associe souvent au stéréotype du joueur de football, je voulais montrer que, oui, je prends soin de ma peau et que j’aime ça!», dit-il en riant.
Il poursuit: «La totalité de mes collaborations sont liées à la santé. Que ce soit l’activité physique, l’alimentation, m’associer à la santé de la peau était une parfaite continuité. J’utilisais déjà la marque avant notre collaboration au quotidien, donc je n’ai pas eu à réfléchir longtemps avant d’accepter de sauter dans cette aventure-là, d’autant plus que c’est une très belle entreprise familiale basée sur la science des plantes!
Mais avant d’aller de l’avant, et à cause de mon côté médical “geek”, j’ai voulu comprendre comment l’équipe choisissait les plantes, pourquoi ils utilisaient tels extraits, etc. Il fallait que cette collaboration aille plus loin qu’une story Instagram! Je voulais voir comment ça se passait dans les laboratoires, comment ils travaillaient, je désirais comprendre quelles parties de la plante, des racines, des feuilles on utilise, quelle molécule, leur effet, comment on les extrait, quel est le procédé…. Je me suis donc rendu à Paris pour rencontrer les directrices du laboratoire. J’ai eu la chance de passer une semaine avec elles pour poser toutes mes questions et j’ai été encore plus convaincu de travailler avec Clarins.
Ce que j’ai aimé aussi, c’est que l’équipe est vraiment tournée vers les clients. Dans l’industrie de la beauté, on pense souvent que les gestionnaires pensent uniquement aux profits. Chez Clarins, on ne parlait jamais de rentabilité, de profitabilité. L’équipe parlait et pensait toujours aux clients: qu’ont-ils besoin, que veulent-ils? Comment mieux les rejoindre et répondre à leurs besoins? Ce sont vraiment de belles valeurs d’entreprise qui collent à mon type de gestion entrepreneurial.»
Tu as abordé en début d’entrevue les différents visages de la masculinité, pourquoi est-ce important pour toi?
«Tout simplement parce que je suis une personne sensible, émotive. J’aime ouvrir le dialogue sur les enjeux d’actualité, dont celui de la masculinité toxique. On se doit de la stigmatiser et d’en parler ouvertement, surtout quand on voit ce qui se passe en ce moment au niveau du sport professionnel. Moi, je le fais et si ça peut permettre à d’autres hommes de s’ouvrir ensuite, tant mieux! Ma copine Florence joue un grand rôle dans mon éducation sur certains enjeux auxquels les femmes doivent faire face. Je comprends mieux maintenant. La définition de la virilité a été construite de toute pièce par la société. Maintenant, je trouve ça nécessaire de la déconstruire et d’aller de l’avant de façon positive et égalitaire. Tout le monde peut et doit vivre comme il l’entend. C’est une question d’ouverture, de curiosité et de respect.»
Tu sembles t’impliquer de plus en plus au Québec, est-ce que tu es maintenant ici pour y rester?
«C’est vrai! Je n’ai pas de contrat de football cette année et, depuis un an ou deux, je dois avouer que je réalise beaucoup plus ce que je laisse derrière pour aller pratiquer mon sport: ma copine, les boulangeries, la médecine, la Fondation, mes différents engagements… J’adore le football, c’est une passion, mais quand je fais la liste des pour et des contre, quand je pense aux risques de blessures, les contres pèsent un peu plus dans la balance…», dit-il pensif.
Il reprend: «Toutefois, je ne mentirai pas, si le téléphone venait à sonner, en octobre, je sais que je ne pourrai pas dire non. C’est tout un feeling de jouer devant 80 000 personnes chaque week-end. Mais, s’il n’y a pas d’opportunités qui se présentent, ce sera ça et c’est tout! J’adore le football pour la stratégie, la préparation, le fait de devoir organiser les données dans le but de prendre la meilleure décision possible, et ce, dans un environnement stressant… C’est aussi pourquoi je suis si passionné par la médecine d’urgence. L’adrénaline, l’approche rationnelle face à des situations stressantes, devoir être un bon leader, bien communiquer… Il y a quand même plusieurs similitudes!»
On a pu voir que tu as repris l’entreprise familiale, comment se passe la portion «homme d’affaires», est-ce difficile pour toi?
«J’ai effectivement repris les boulangeries familiales*. C’est fou à quel point, en tant qu’entrepreneur, on arrête jamais d’apprendre! Je suis investi au niveau des équipes, des clients… J’aime travailler avec et pour les gens. Mes parents m’ont toujours dit qu’on vend beaucoup plus que du pain: on offre du réconfort, on offre un moment. Les émotions, c’est un puissant moteur… Les deux premières années, je jouais également au football, j’ai dû m’adapter et les équipes aussi! On a appris et grandi ensemble. Là, on a notre erre d’aller!»
Un des projets qui te tient également à coeur est ta Fondation LDT, qui allie l’activité physique et la créativité. Pourquoi était-il nécessaire pour toi de lancer cette initiative?
«En fait, ce n’est pas uniquement mon projet, c’est le projet de ma copine et moi. Nous avons créé la Fondation, il y a 6 ans déjà. On organise des événements clés en main qui encouragent l’équilibre entre les sports, les activités artistiques et les études. C’est tellement enrichissant et motivant de voir les jeunes découvrir et s’épanouir. Assurer la pérennité de la Fondation est une de mes grandes motivations.»
Tu fais beaucoup la promotion de l’équilibre, mais as-tu la chance de prendre un peu de temps pour toi?
Il rit d’emblée, puis prend un moment pour réfléchir: «Tu as raison, l’équilibre, pour moi, est fondamental. J’ai toujours été très occupé et j’en ai longtemps retiré un grand sentiment de fierté. Quand on me demandait comment je faisais pour tout faire, quel était mon truc, c’était, pour moi, extrêmement valorisant. En ce moment, je reprends mon souffle, l’arrivée de la belle saison me fait du bien et j’ai envie d’en profiter à fond pour une fois.
J’ai le goût de me poser, de respirer. Je tente de mieux m’organiser et bien que j’en porte beaucoup, j’essaie de me remettre au centre de mes priorités. J’ai un grand désir de spontanéité, de vérité.»
ClarinsMen: Les coups de coeur de Laurent Duvernay-Tardif
Pour continuer à bien prendre soin de lui, voici les 2 produits préférés de Laurent :
Huile Rasage + Barbe ClarinsMen
Il s’agit d’une huile légère 2-en-1 aux extraits de plantes, au parfum agréable: «Ce que je préfère, c’est qu’elle n’est pas huileuse, elle nourrit la peau et hydrate les poils. J’aime qu’elle ait plus d’une utilité puisqu’elle assouplit le poil et facilite le rasage.»
Gel Énergisant ClarinsMen
Ce produit est un gel hydratant frais, non collant et légèrement parfumé qui contient tout ce qu’il faut d’extraits végétaux pour recharger la peau en énergie et lui redonner tout son éclat: «Je l’applique tous les jours. J’adore son côté hydratant, rafraîchissant, apaisant. Ça me donne un boost de vitalité instantanément! J‘aime prendre ce moment-là pour moi, et son effet fraîcheur est apprécié. Ça la distingue de toutes les autres.»
* NDLR Les 3 succursales du Pain dans les voiles comptent une centaine d’employés et une moyenne de 500 clients par jour chacune.
– Ce texte est une collaboration avec Clarins.
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