Si vous êtes ici, c’est que vous avez un intérêt certain pour la spiritualité, une démarche personnelle qui n’est pas associée à une religion, mais plutôt à une croyance ou à une philosophie de vie qui vous ramène à votre centre et à l’essence de qui vous êtes vraiment.
C’est tout à fait génial.
Mais pouvez-vous être trop flyée? Spirituelle? Perchée? Woo-hoo?
Comment trouver l’équilibre si vous avez toujours envie d’être dans les « hautes sphères », si vous avez toujours envie de méditer, de faire des retraites, de lire des livres sur le mieux-être, de faire des rituels?
Tout d’abord, il n’y a pas de mal à ça. Parce qu’au fond, si vous le faites, c’est parce que ça vous apporte quelque chose, c’est parce que vous cherchez quelque chose, c’est parce que ça vous fait du bien.
C’est très correct d’avoir cette envie de connexion, ce désir d’entrer dans cet univers, ce besoin de se retrouver… Au fond, vous vous êtes peut-être trop longtemps oubliée…
Donnez-vous cette permission, et ne jugez pas votre besoin de connexion avec l’invisible et la réalité non ordinaire. Profitez-en plutôt pour y ajouter un retour aux sources, à la nature. Faites des marches contemplatives, méditez dehors, embrassez un arbre! ????
Ce contact avec la nature vous aidera à rester « groundée », ancrée, bien incarnée, même si vous êtes un peu perchée-flyée. ???? (C‘est aussi une façon de remercier notre Terre-Mère pour tout ce qu’elle nous offre, malgré tout ce que nous lui imposons…)
Ce besoin de spiritualité est au fond un besoin de reprendre contact avec votre Je suis profond afin de renouer avec votre créativité, vos talents et vos dons.
Faites-vous plaisir et allez-y à fond!
Restez bien ancrée pour pouvoir bien vivre cette incarnation, donnez-vous la permission de vivre votre vie telle que vous l’entendez, telle que vous la choisissez, et surtout d’y trouver du plaisir et de la passion!
Faites-le pour vous!
Oh! Et si votre « pratique » dérange, que certaines personnes de votre entourage vous trouvent justement trop perchée-flyée… eh bien tant pis.
Surtout, souvenez-vous que vous n’avez personne à convaincre. Ce que vous faites, vous le faites pour vous. Et si vous souhaitez en parler, parlez-en avec des gens ouverts et bons.
Là-dessus, fiez-vous à votre intuition.
Nathalie
Merci à Sylvie pour l’inspiration de ce texte.
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